La France a du retard dû au nucléaire.

Pratiquement la totalité de l'investissement étatic est porté sur cette énérgie pour le reste il vaut mieux attendre 50 ans lorsqu'il n'y aura plus d'uranium.

J’ai rencontré quelqu’un qui avait créé des chaudières à paille et des digesteurs à lisier, pour fabriquer de l’électricité avec le méthane dégagé.. en France... en 1979 !



Eh oui, la productions d’énergies renouvelables dépend du prix du pétrole, d’une part, et des choix énergétiques de la France, d’une autre. Et comme on a choisi, il y a longtemps, le « tout-nucléaire »...

Forcément, on a du retard. On produit moins de CO2 que les autres, mais on fait aussi moins de renouvelable. Le tout grâce et à cause de l’atome.



On a, à mon humble avis, intérêt à se rattraper, si on veut pas être définitivement distancé dans la course au durable !

en france aussi ça existe depuis longtemps. Par exemple, mes parents on fait installe en 1985 6m² de capteurs sous vide pour l'ECS. ces capteurs existent toujours et fonctionne parfaitement bien. En plus à cette époque (post chocs pétrolier) des aides existaient qui ont disparues par la suite lorsque le coût du pétrole a rediminué. Maintenant que le prix réaugmente les aides sont de retour et l'investissement devient de plus en plus rentable.

Tout ça pour dire que plus le pétrole sera cher, plus le recours aux énergies renouvelables sera favorisé.

La France et un certain nombre d'autres pays font la distinction entre les énergies faiblement émettrices en gaz à effet de serre et les énergies renouvelables.

Les pays qui ont choisi les énergies renouvelables lors des chocs pétroliers de 73 et 81 se retrouvent actuellement avec des émissions de gaz à effets de serre trop importantes.

Les pays du nord de l'Europe par exemple avaient installé des incinérateurs de tout et n'importe quoi dans tous les bleds. Mais comme on ne peut pas les équiper tous de filtres efficaces, ils polluent à fond !

Par ailleurs, on vient de se rendre compte que les barrages hydro-électriques produisent du méthane du fait de la décomposition des végétaux ! Or le méthane a un très fort pouvoir d'effet de serre. (voir les études sur le barrage de petit saut en Guyane)

Pour les éoliennes (4 MWatts installés maximum pour un rendement de 10% à 20%,. Soit 0.4 à 0.8 Mwatt produit par éolienne) et pour les panneaux solaires photo-voltaïques (rendement 10 à 12% sous nos latitudes), le bilan énergétique de leur fabrication, transport (ça vient beaucoup de Chine !), installation et destruction est moyen ou mauvais.



Sur la base de ces informations, certains pays ont fait le choix de ne pas se lancer dans les énergies renouvelables mais de rechercher des productions d'énergie faiblement émettrices en gaz à effet de serre.



Pour Groutchna : les rendements proviennent du fait qu'il n'y a pas toujours du vent, pas toujours du soleil. Faut réfléchir un peu ...

Le maximum des panneaux soloaires pourra être obtenu vers l'equinoxe de printemps pendant quelques minutes par jour. Le maximum des éoliennes lorsque le vent atteint les vitesses maximales pour lesquelles elle sont dimensionnées, soit proche de la tempète. Ce qui n'arrive heureusement pas souvent ... Lors des tempêtes, les éoliennes sont débrayées.

De plus, les puissances produites par ces deux sources n'ont pas la bonne phase. Et il faut mettre à la phase du réseau ce qui fait perdre encore de la puissance produite.



Suite : Rendement = P produite en moyenne par an / P installée.

En France, nous avons le nucléaire!!

Ainsi nous produisons peu de gaz à effet de serre (GES). Le Danemark, pays où les ER sont le plus développées en Europe est aussi un de ceux qui produisent le plus de GES par habitant pour produire de l'électricité (ils utilisent des centrales à charbon).

Trêves de plaisanteries.

Depuis 40 ans, les programmes de recherche d'état et les politiques publiques sont allées à la technologie futuriste se conformant à notre choix de société. Dans les années 70 et 80, la technologie, la modernité et le futur était représentés par le nucléaire (ainsi que notre indépendance énergétique) merci à de bons lobby. Les énergies renouvelables, c'était des trucs de "pauvres" (Grèce, Malte, Chypre), voire de sous-développés (bois, charbon) ou de babas attardés: tu les utilises quand tu n'as rien d'autres!!



De plus les professionnels du secteur du bâtiment, bien que d'horizons divers, font preuve de peu d'ouverture d'esprit et encore moins de formation profesionnelle continue (surtout ceux qui décident).



En plus des évènements récents, la hausse depuis 2002 du baril de pétrole, des black-out en Californie où le marché a été dérégulé, l'ouverture des marchés nationaux de production et de distribution d'électricité en Europe s'accompagne de flambée des prix ont permis une prise de conscience plus profonde de la situation par les médias et par nous, la population.

De plus, le protocole de Kyoto, c'est 1995, avant le réchauffement climatique, ce n'était pas LE problème. Pour mémoire, c'était la couche d'ozone (son fameux trou)



Le cumul de tous ces facteurs explique la situation et pourquoi on ne parle que maintenant des énergies renouvelables.

c'est comme le cas des usa la France a choisit a choisie le progrée de l'économie local que de préserver l'environement mais maintenant elle est un peut obliger d'utiliser ses énergie propre